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Responsabilité sociale et 
environnementale

 Des queues de sirène qui respectent l'environnement, les droits des travailleurs et qui promeuvent l'inclusivité.

Viridian, c'est un vert-bleu pour nos yeux contemporains. Avant ça, c'est une lumière, quelque chose de très énergique. Plus que vert, c'est verdoyant, vivant. Pour que mes sirènes et mes tritons s'épanouissent, j'ai deux axes d'action : 


1) l'inclusivité. 

J'entends souvent : "j'aimerais beaucoup mais je ne pourrai pas...". Je trouve même que c'est particulièrement fort dans le mermaiding, au croisement du sport et de l'art. Non seulement on s'expose dans un drôle de costume, à moitié nu-e, mais la pression esthétique est réelle. Une pression devant laquelle nos corps, nos genres et autres facettes de notre identité ne sont pas égaux. Pour dépasser ça, il faut créer un sentiment d'inclusion et pour créer ce sentiment, 

il faut montrer que tout le monde peut être une sirène. 


Le dessin m'a appris deux choses, qui forgent ma position en tant que créatrice inclusive. D'abord, dessiner, c'est limiter. Ensuite, montrer une image, c'est parler plus fort qu'avec des mots. C'est pourquoi je collabore avec des personnes aux corps et aux identités variées, je pense les designs pour les modèles, je prépare les photos avec une professionnelle pour que tout le monde se rêve beau ou belle en sirène. Je réfléchis à des accessoires pour contrôler la forme du corps lorsque ça met la personne plus à l'aise. Le mermaiding peut être un extraordinaire espace de jeu avec les genres et les formes !


Quand on arrive à la boutique, j'ai une règle : 

s'il faut changer le modèle pour qu'il s'adapte à un corps, c'est gratuit. Si c'est un bonus de style, c'est un extra. 

Par exemple le sur-mesure est gratuit pour les corps qui sortent de mon petit tableau de tailles standards.



2) la protection de l'environnement et des droits des travailleurs -ses. 

En soi, j'ai mille raisons de ne pas dégrader l'environnement ou exploiter des personnes : la beauté, le respect de l'existence, l'empathie, l'égalité, la survie... Mais je dirais que c'est aussi une forme d'inclusion. 

Le monde du mermaiding est le monde des océans qui est le monde des travailleurs-ses... artistes inclus-es !

Je ne copierai jamais sciemment le design d'un-e autre créateur-ice et je n'utilise pas d'IA pour générer mes designs. Je ne peux pas m'appuyer sur des choix qui excluent, détruisent ou volent. Je ne veux pas contribuer à créer la caste des sirènes qui nagent en eaux pures, quand le reste du monde en souffrirait. 


Je n'ai malheureusement pas non plus de solution parfaite. 

Mais j'espère avoir des compromis acceptables et les faire évoluer.

  • Un tissu recyclé et solide, dont je connais la provenance, la composition, la recyclabilité. 

    • J'utilise actuellement un lycra "haute performance", mélange de 88% de polyester recyclé et de spandex ultra résistant ; le spandex, plus difficile à recycler, est en quantité inférieure à un lycra classique. J'ai renoncé temporairement au scuba, dont j'adore l'épaisseur, faute d'en trouver qui soit assez résistant et abordable depuis la France.
  • Une impression écologique aux résultats très stables, sans eau, en Europe. 

  • Ma production à la commande, sans stock et en groupant les envois.

    • En tant que client-e tu peux tout de même demander une commande rush en réglant le transport des matériaux, mais le délai d'impression est incompressible.
  • Le packaging est minimaliste ou réutilisable.

Je m'efforce d'avoir connaissance et conscience des impacts de ma création, je reste vigilante et ouverte à de nouvelles solutions. En tant que créatrice, je peux décider de chaque étape de la production et je peux proposer d'adhérer à mes valeurs à travers mes créations. Et ça, c'est même assez empouvoirant !


Maintenant, l'idéal. Qu'est-ce que j'aimerais faire de plus ?

  • Une création 100% française : intégrer la production du tissu et l'impression !
  • Intégrer un programme de recyclage des queues de sirène et une certification R2R (recyclable à recyclé) pour les matériaux








 

Viridian, c'est un vert-bleu pour nos yeux contemporains. Avant ça, c'est une lumière, quelque chose de très énergique. Plus que vert, c'est verdoyant, vivant. Pour que mes sirènes et mes tritons s'épanouissent, j'ai deux axes d'action : 


1) l'inclusivité. 

J'entends souvent : "j'aimerais beaucoup mais je ne pourrai pas...". Je trouve même que c'est particulièrement fort dans le mermaiding, au croisement du sport et de l'art. Non seulement on s'expose dans un drôle de costume, à moitié nu-e, mais la pression esthétique est réelle. Une pression devant laquelle nos corps, nos genres et autres facettes de notre identité ne sont pas égaux. Pour dépasser ça, il faut créer un sentiment d'inclusion et pour créer ce sentiment, 

il faut montrer que tout le monde peut être une sirène. 


Le dessin m'a appris deux choses, qui forgent ma position en tant que créatrice inclusive. D'abord, dessiner, c'est limiter. Ensuite, montrer une image, c'est parler plus fort qu'avec des mots. C'est pourquoi je collabore avec des personnes aux corps et aux identités variées, je pense les designs pour les modèles, je prépare les photos avec une professionnelle pour que tout le monde se rêve beau ou belle en sirène. Je réfléchis à des accessoires pour contrôler la forme du corps lorsque ça met la personne plus à l'aise. Le mermaiding peut être un extraordinaire espace de jeu avec les genres et les formes !


Quand on arrive à la boutique, j'ai une règle : 

s'il faut changer le modèle pour qu'il s'adapte à un corps, c'est gratuit. Si c'est un bonus de style, c'est un extra. 

Par exemple le sur-mesure est gratuit pour les corps qui sortent de mon petit tableau de tailles standards.



2) la protection de l'environnement et des droits des travailleurs -ses. 

En soi, j'ai mille raisons de ne pas dégrader l'environnement ou exploiter des personnes : la beauté, le respect de l'existence, l'empathie, l'égalité, la survie... Mais je dirais que c'est aussi une forme d'inclusion. 

Le monde du mermaiding est le monde des océans qui est le monde des travailleurs-ses... artistes inclus-es !

Je ne copierai jamais sciemment le design d'un-e autre créateur-ice et je n'utilise pas d'IA pour générer mes designs. Je ne peux pas m'appuyer sur des choix qui excluent, détruisent ou volent. Je ne veux pas contribuer à créer la caste des sirènes qui nagent en eaux pures, quand le reste du monde en souffrirait. 


Je n'ai malheureusement pas non plus de solution parfaite. 

Mais j'espère avoir des compromis acceptables et les faire évoluer.

  • Un tissu recyclé et solide, dont je connais la provenance, la composition, la recyclabilité. 

    • J'utilise actuellement un lycra "haute performance", mélange de 88% de polyester recyclé et de spandex ultra résistant ; le spandex, plus difficile à recycler, est en quantité inférieure à un lycra classique. J'ai renoncé temporairement au scuba, dont j'adore l'épaisseur, faute d'en trouver qui soit assez résistant et abordable depuis la France.
  • Une impression écologique aux résultats très stables, sans eau, en Europe. 

  • Ma production à la commande, sans stock et en groupant les envois.

    • En tant que client-e tu peux tout de même demander une commande rush en réglant le transport des matériaux, mais le délai d'impression est incompressible.
  • Le packaging est minimaliste ou réutilisable.

Je m'efforce d'avoir connaissance et conscience des impacts de ma création, je reste vigilante et ouverte à de nouvelles solutions. En tant que créatrice, je peux décider de chaque étape de la production et je peux proposer d'adhérer à mes valeurs à travers mes créations. Et ça, c'est même assez empouvoirant !


Maintenant, l'idéal. Qu'est-ce que j'aimerais faire de plus ?

  • Une création 100% française : intégrer la production du tissu et l'impression !
  • Intégrer un programme de recyclage des queues de sirène et une certification R2R (recyclable à recyclé) pour les matériaux